© Editions La Lumière 2019
Une robuste défense du
christianisme classique
«Sur ce dont on ne peut pas
parler, l’on doit garder silence.»
Wittgenstein.
«Là où l’on peut parler, l’on ne
doit pas se taire.»
John Warwick Montgomery.
“Mais si je veux être réellement
sauvé – alors j’ai besoin de
certitude – et non de la sagesse,
de rêves, de spéculations – et
cette certitude est la foi. Et la
foi est la foi dans ce dont mon
cœur, mon âme, et non mon
intelligence spéculative, a
besoin. Car c’est mon âme, avec
ses passions, avec sa chair et son
sang, pour ainsi dire, qui doit
être sauvée, et non pas ma
pensée abstraite.”
Ludwig Wittgenstein.
Tractatus Logico-
Theologicus
John Warwick
Montgomery
Traduction de la
sixième édition
anglaise révisée de
Tractatus Logico-
Theologicus (Verlag
für Kultur und Wissenschaft, 2019),
par Gérald Pech, ingénieur R&D
dans l’industrie. Une coédition VKW
et Les Editions La Lumière.
Couverture du livre en PDF
Prospectus promotionnel A5
ISBN : 978-2-900755-01-3 (Éditions
La Lumière)
ISBN : 978-3-86269-173-9 (VKW)
ISSN : 1612-1171 (Christliche
Philosophie heute)
Edition : Première édition
Editeurs : VKW/Editions La Lumère
Date de publication : avril 2019
Langue : Français
Pages : 276
Reliure : Dos carré collé à couverture
souple
Impression intérieure : Noir & blanc
Poids : 0,47 kg
Dimensions (cm) : 14,81 x 20,98
Copyright : (c) 1984, 1994, 2008
John Warwick Montgomery
Le Professeur Montgomery, pendant ses études à l’Université
Cornell, était en contact avec Norman Malcolm, disciple et
proche ami de Wittgenstein, et fit ses premières armes en
logique formelle sous les instructions de Max Black qui,
semble-t-il, faisait partie des très rares personnes à avoir
compris, en première lecture, l’argumentation de Russell et
Whitehead formulée dans leur Principia Mathematica.
La carrière de Montgomery dans l’enseignement universitaire
dans les domaines de l’histoire, du droit, de la littérature et de la
théologie, combinée avec cet arrière-plan philosophique, l’a conduit à
produire
le présent ouvrage qui propose une apologétique complète du christianisme classique.
Consistant en plus de 1800 propositions agencées suivant une séquence logique, le
Tractatus de Montgomery est accompagné de références scripturaires, d’un index des noms
et d’un index des sujets détaillés. Le champ couvert est remarquable, embrassant la
logique, la littérature, l’histoire, les mythes, la science, la philosophie, la jurisprudence, les
théories politiques et la théologie – l’ensemble étant, du début jusqu’à la fin, ponctué de la
verve et entrecoupé de coups d’épée acérés d’un avocat à l’aise dans des contextes
conflictuels.
Le Tractatus de Wittgenstein, qui a démontré les limites de toute tentative non
transcendantale de comprendre le monde, se terminait par la proposition suivante : « Sur
ce dont on ne peut pas parler, l’on doit garder silence. » Montgomery, à l’issue d’un exposé
qui défend de manière approfondie la révélation transcendante même à laquelle
Wittgenstein aspirait sans jamais la trouver, conclut comme suit : « Là où l’on peut parler,
l’on ne doit pas se taire. »
Le Tractatus Logico-Theologicus vise à frayer de nouvelles voies dans l’apologétique, comme
le fit le Tractatus Logico-Philosophicus en épistémologie. Il devrait susciter un intérêt
particulier chez les philosophes de la religion, les théologiens, les pasteurs, les historiens
des idées, et chez quiconque cherche de solides réponses aux questions ultimes qui nous
tourmentent tous à un moment ou un autre, notamment durant ce que Saint Jean de la
Croix appelait « la nuit obscure de l’âme ».
Cornell, était en contact avec Norman Malcolm, disciple et
proche ami de Wittgenstein, et fit ses premières armes en
logique formelle sous les instructions de Max Black qui,
semble-t-il, faisait partie des très rares personnes à avoir
compris, en première lecture, l’argumentation de Russell et
Whitehead formulée dans leur Principia Mathematica.
La carrière de Montgomery dans l’enseignement universitaire
dans les domaines de l’histoire, du droit, de la littérature et de la
théologie, combinée avec cet arrière-plan philosophique, l’a conduit à
produire
le présent ouvrage qui propose une apologétique complète du christianisme classique.
Consistant en plus de 1800 propositions agencées suivant une séquence logique, le
Tractatus de Montgomery est accompagné de références scripturaires, d’un index des noms
et d’un index des sujets détaillés. Le champ couvert est remarquable, embrassant la
logique, la littérature, l’histoire, les mythes, la science, la philosophie, la jurisprudence, les
théories politiques et la théologie – l’ensemble étant, du début jusqu’à la fin, ponctué de la
verve et entrecoupé de coups d’épée acérés d’un avocat à l’aise dans des contextes
conflictuels.
Le Tractatus de Wittgenstein, qui a démontré les limites de toute tentative non
transcendantale de comprendre le monde, se terminait par la proposition suivante : « Sur
ce dont on ne peut pas parler, l’on doit garder silence. » Montgomery, à l’issue d’un exposé
qui défend de manière approfondie la révélation transcendante même à laquelle
Wittgenstein aspirait sans jamais la trouver, conclut comme suit : « Là où l’on peut parler,
l’on ne doit pas se taire. »
Le Tractatus Logico-Theologicus vise à frayer de nouvelles voies dans l’apologétique, comme
le fit le Tractatus Logico-Philosophicus en épistémologie. Il devrait susciter un intérêt
particulier chez les philosophes de la religion, les théologiens, les pasteurs, les historiens
des idées, et chez quiconque cherche de solides réponses aux questions ultimes qui nous
tourmentent tous à un moment ou un autre, notamment durant ce que Saint Jean de la
Croix appelait « la nuit obscure de l’âme ».
